Ĺ’conomie et territoire, deux retours aux sources pour nous projeter dans le 21e siècle
Pierre CALAME | 2009
Dans cet article, l’auteur nous invite à revenir aux sources de « l’économie », c’est à dire à l’oeconomie comme l’art de penser les relations entre les choses et entre les hommes. Pour l’auteur, ce retour à l’oeconomie est évidemment complémentaire d’un retour au territoire, échelle d’organisation du développement économie et social, mais aussi et probablement surtout parce que l’économie réelle repose sur la confiance, dont le territoire est l’un des îlots.
Le projet socio-politique du développement durable
Henry OLLAGNON | 2001
Après un bref retour sur l’apparition de la notion de développement durable, symptôme de l’émergence de la complexité du vivant, l’auteur propose quatre leviers pour considérer la gestion du vivant en bonne santé : une exigence de qualité totale, des modalités de prise en charge revisitées, le besoin de piloter la qualité, la nécessité de sécuriser les acteurs dans la prise d’initiative. En conclusion, le développement durable est un choix politique de société.
Comment aider les grandes organisations à anticiper le changement ?
Joop de VRIES | 2000
Dans cet article, l’auteur développe les concepts de cartes mentales et d’organisation apprenante, déduits de l’observation des conditions du changement dans les grandes organisations, et propose d’imaginer un scénario où cette approche de dénominateur maximum commun permettrait non pas de planifier une nouvelle agriculture, mais de dessiner une multitude de petits chemins de changement.
Vive l’innovation territoriale !
Michel LEDRU | 2009
Dans cet éditorial, l’auteur nous invite à donner une dimension nouvelle au territoire. Certes il est un espace incontournable de rencontre et le socle d’un développement fondé sur la mise en mouvement des hommes, mais il peut aussi être le creuset de l’innovation pour mieux agir ensemble…
Crise du vivant et stratégies de prise en charge de la qualité commune
Raymond LACOMBE | 2000
Dans son éditorial, l’auteur s’inquiète de la montée des crises du vivant qui annoncent un défi majeur pour nos sociétés : élaborer des stratégies communes pour prendre charge la qualité du vivant par et avec l’ensemble des acteurs concernés, agriculteurs bien sûr, mais aussi acteurs de filière, consommateurs etc.